Monein Clos Uroulat - portes ouvertes en Jurançon - dimanche 10 décembre 2017


Après un coup d'essai  en 2016 pour le même évènement, Charles Hours nous a renouvelé sa confiance pour l'édition 2017.

Pour une fois la météo était particulièrement pluvieuse aussi le plus gros du monde était positionné dans le grand chai. Evidement le bar avait le plus bel étalage et des producteurs triés sur le volet proposaient des produits de qualité à déguster tels que fromage d'estive, huitres, miels, canard, pâtisseries,...

La Fanfarmonie s'était donné rendez-vous à la première heure pour s'offrir une dégustation d'huitres du bassin d'Arcachon arrosées d'un Jurançon sec, cuvée Marie ... une parfaite mise en forme.

La tonitruance de notre prestation en "intérieur" ne semble pas avoir trop perturbé le public - le chai a donc une bonne acoustique - public qui a même manifesté à multiples reprises son enthousiasme à notre égard.

La convivialité était bien établie et les rencontres nombreuses; nous avons même fait connaissance avec une vendeuse de fromage dont la deuxième activité et de "faire la clown" et avec qui nous avons envisagé une co-production future. Nous avons aussi proposé à la maison Biraben de leur jouer "la danse des canards".

Inutile de dire aussi que Charles Hours et son équipe nous ont reçu superbement.


 

 L'affiche officielle de l'événement et celle dans la presse de la Rép des Pyrénées.



 

 

Et toujours dans la Rep des Pyrénées, version numérique, une photo de la Fanfarmonie pour illustrer le programme 2017 des Portes Ouvertes en Jurançon.

La photo date du même évènement, édition 2016 où nous étions déjà au Clos Uroulat.

Question : où ont-ils  trouvé cette photo ?



 

Le Clos sur les coteaux de Monein, Charles Hours avec son programme de la journée et ses deux produits phares


 

 

Sur les petites routes des coteaux de Monein l'arrivée au Clos Uroulat se mérite



A la première heure les stands de produits de haute qualité se mettent en place.

A défaut de stand de poire nous nous sommes positionnés entre le gâteau et le fromage.



 

Avant le "coup de feu" la fanfarmonie s'est offert les huitres du bassin d'Arcachon arrosées d'un Jurançon sec, la cuvée Marie, le top de la maison.

Rien de tel pour préparer les lèvres à "péter dans le cuivre" des trompettes, basses et tuba mais aussi à "sucer le bambou" des saxos; la thérapie contribue aussi à donner de la vivacité au poignet pour faire vibrer grosse caisse et cymbales.



 

 

 

Quand le public est arrivé, chose bizarre, il s'est agglutiné devant le bar.



 

Le groupe, en action, resplendissant, et en toute modestie.

 

Un grand merci à Dominique pour ces prises de vue sur le vif.



 

 

 

L'égo des 13 fanfarmonistes présents devrait etre comblé devant cette galerie de portraits.

Alain G., désigné à l'unanimité (moins 1 voix,  la sienne) nounou de Capucine pour la circonstance n'a pas eu à revetir son pull rose.